La Fédération Royale Marocaine de Boxe (FRMB) a organisé samedi soir à Rabat, une cérémonie en l'honneur des champions nationaux du monde juniors de boxe, organisés à Agadir du 8 au 17 septembre sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI.

La sélection marocaine avait remporté deux médailles, une première dans les annales de la boxe nationale. Lors de cette édition, le jeune pugiliste Mehdi Ouatine s'était adjugé la médaille d'or de ces championnats dans la catégorie (-54kg, -19 ans), tandis qu'Idriss Moussaid (-64 kg) avait remporté la médaille de bronze après sa défaite en demi-finale. Dans une allocution à l'ouverture de cette cérémonie, le Président de la FRMB, M. Jaouad Belhaj a mis en exergue les efforts déployés par les cadres nationaux techniques, médicaux et administratifs ayant contribué au succès des championnats du monde juniors. Ce succès, a-t-il dit, a constitué un véritable challenge au cours duquel le Maroc a fait montre d'une capacité d'organisation à la hauteur d'une manifestation de renom international. M. Belhaj a précisé que la Fédération Royale Marocaine de Boxe a été appelée à donner une suite dans les plus brefs délais à la proposition de l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), réunie en marge des championnats qui se sont déroulés à Pékin il y a environ huit mois. Après des concertations avec les différents partenaires, il a été décidé l'organisation de cette fête sportive à Agadir qui a connu un succès éclatant à tous les niveaux.

Pour Fakhir, le choix de la Hollande présente moult avantages par rapport à un stage au Maroc. Il cite la proximité du lieu de résidence des joueurs dont le déplacement nécessite 2 heures au maximum au lieu de 24, ce qui occasionne un gain de temps d'une journée par rapport à une concentration au Maroc. Ajouter à cela la qualité de l'infrastructure et l'état des pelouses en Hollande qui sont sans comparaison avec ce dont disposent les deux seuls stades au Maroc homologués par la FIFA (Complexe Prince Moulay Abdallah et Complexe Mohammed V).

Ce stage permet par ailleurs de jouer contre deux clubs (Utrecht et Roda) et de mobiliser le maximum de joueurs et les faire jouer 45 minutes au moins pour chacun d'entre eux, soit une opportunité qui ne se présente pas à tout le monde lors des matches joués au Maroc

Ce sera également l'occasion pour être en contact avec tous ces joueurs qui aspirent défendre un jour les couleurs marocaines. Fakhir résume le but du stage en deux points principaux : le premier d'ordre technico-tactique vise à créer les automatismes et la complémentarité entre les joueurs, et le second d'ordre affectif, vise à créer un climat d'émulation, de bonne entente et surtout d'adhésion au projet.

Le tennis corporatif peut paraître, chez nous, méconnu ; il est vrai qu'il se fait le plus souvent discret. Mais cela ne prouve pas qu'il soit inexistant. Au contraire, il reste l¹un des sports Les mieux organisés et sa pratique est répandue au niveau de plusieurs entreprises et sociétés grand Casablanca. Tels que : A.S.G.M.B., A.C.S.A, l¹O.C.P.C. ( O.C.P. Casa), l¹ODEP, la BP, le C.S.E (O.N.E), le T/S/C, la COSUMAR, Renault Maroc, l'AHLNAPHT, l'ASLYDEC et du C.O.B.M., nouveau club de Béni Mellal et d¹autres encore dans d¹autres villes.

Aujourd'hui ce sport se pratique au sein de ces clubs de sociétés et d'entreprises sous l'égide d'une Commission du tennis corporatif dynamique et volontaire. Le tennis corporatif à ses particularités dont la principale est de reposer sur les clubs qui l'encouragent. Il faut tenir compte de cette singularité tout en permettant à ce sport de s'adapter à son environnement et de veiller à son développement.

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