• Le Maroc va bientôt enrichir ce champ en créant une chaîne à vocation sportive, dont l'objectif est de donner une lisibilité claire de ce monde du sport de plus en plus compliqué.
    selon Younès Alami, le futur directeur de la chaîne : « la vocation de la chaîne est de réveiller le « Marocain » qui sommeille en nous ». Voilà qui est nouveau !
    En effet, la chaîne sportive, qui verra le jour en septembre prochain, mettra l'accent sur l'histoire du sport marocain.

    « Tous les grands exploits du sport marocain seront remis au goût du jour. C'est l'émotion que génère le sport qui sera la véritable vedette de notre chaîne », explique M. Alami. Pour cela, le téléspectateur marocain sera au rendez-vous avec un programme riche et varié. Des journaux d'information, des talk-shows... Le tout en dialecte marocain et en arabe classique, histoire de garder toujours le lien avec le téléspectateur national.

    « C'est vrai que le football et l'athlétisme seront les deux sports roi de la chaîne ; toutefois le billard, le Bowling et d'autres sports, qui ne passent pas généralement à la télé, auront leur place dans le programme », ajoute M. Alami

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  • L'annonce de l'organisation est en soi une véritable surprise. La situation du vélo national, les querelles intestines insurmontables qui l'ont déchiré, ont retardé cette discipline qui faisait jadis notre fierté. La mise sur pied d'une pareille manifestation, dans la conjoncture actuelle, était loin d'effleurer les esprits.

    Mais cette initiative de la Commission provisoire, fermement soutenue par le Comité national olympique et son président Hosni Benslimane et la SNRT et son PDG Fayçal Laraïchi, est un véritable challenge que Saïd Izga et son équipe sont prêts à relever.

    Elle entre dans un plan d'action élaboré, en concertation avec le Secteur du sport et du CNOM avec comme principaux axes d'orientation l'organisation et mise à niveau des structures administratives et techniques de la FRMC, amendement des statuts, reprise des compétitions, préparation des équipes nationales, réintégration du Maroc dans les instances internationales, organisation du Tour du Maroc, formation des cadres (entraîneurs et commissaires de courses), assistance aux clubs (actifs sur la scène nationale), mise en place de l'Ecole nationale de cyclisme, ainsi que la tenue de l'assemblée élective.
    L'inscription du Tour du Maroc n'a pas été chose aisée, comme le dira Saïd Izga. Mais la demande a été enfin acceptée par l'UCI lors de son dernier congrès 20-22 septembre 2006 à Salzburg en Autriche.)

    L'essentiel pour le Maroc est de gagner des points. le Tour du Maroc 2006 qui coûterait 250 à 300 millions de centimes, est inscrit au calendrier de l'Union internationale cycliste (UCI) «Africa Tour », conclut le président de la Commission chargée des affaires du cyclisme.

    L'actuel Tour ne comporte qu'un seul transbordement (déplacement de toute la caravane sans course : Chaouen- Ksar Lekbir), mais pas d'étape contre la montre. Pour Mustapha Nejjari, le DTN : «Toutes les grandes manifestations cyclistes ont tendance à annuler le contre- la- montre ! C'est une perte de temps et un moment de discorde. Nous avons préféré le remplacer par une étape ».

    Les équipes invitées sont au nombre d'une soixantaine. Ce nombre sera réduit après une sélection de tous les participants. Seuls ceux qui apporteront un plus seront choisis. Il est prévu d'en garder pas plus de 12 équipes de 6 coureurs chacune :

    2 équipes nationales, 12 équipes étrangères (africaines, arabes et européennes). La logistique du Tour est, ainsi, répartie : 40 véhicules légers, 2 camions hermétiques, 2 autocars, 1 hélico, motos de la Gendarmerie Royale, 1 car-balai, 1 ambulance, 1 camion-podium.

    Dans 10 ou 15 jours, les équipes participantes seront définitivement connues. D'ici là, tout le comité d'organisation sera à pied d'œuvre pour faire de ce Tour organisé à la va-vite un véritable succès. Du moins sur le plan organisationnel.

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    Une organisation impeccable, un public nombreux attaché à son équipe, un service d'ordre à la hauteur de sa tâche, tout était au rendez-vous pour le bon déroulement de cette rencontre capitale, opposant deux équipes marocaines disputant un titre africain.


    On remarquait très bien que les Khouribguis avaient le trac et les dirigeants faisaient les cent pas sur la piste, concentrés sur la rencontre. Ils acceptaient tout sauf une défaite à domicile devant les FAR.


    La rencontre fut capitale aussi bien pour les équipes marocaines que pour les clubs angolais qui effectuaient toutes les équations possibles pour perturber le classement dominé en tête par les FAR et l'OCK.


    A travers ce résultat, la première place est actuellement occupée par l'OCK, grâce au goal-average particulier


    Les causes de la défaite des FAR étaient claires. Il y a eu en premier l'anti-jeu appliqué par les Militaires, l'expulsion justifiée et gratuite du défenseur Youssef Rabeh à la 35e min, les erreurs lamentables du gardien et enfin les nombreux avertissements endossés notamment par Atik Chihab, Ajraoui, Jarmouni et Rabeh (expulsé).


    Du côté OCK, on a constaté que certains joueurs étaient proches d'avertissements et même de cartons rouges, comme Treiki et Amzil. Pour en revenir au match proprement dit, déjà à la première minute, une première occasion au profit des FAR fut ratée lamentablement par Benkassou qui n'a pas su profiter d'une erreur du défenseur Ouarrad.


    Ensuite, le centrage bien précis de Lotfi (4e min) et le coup franc, à 22 mètres de la cage khouribguie ont été très mal exploités. Lotfi rata également une belle opportunité de scorer à la 38e min. Quant à l'OCK, il eut trois réactions dont la plus dangereuse à la 24e min quand Larjou rata un but tout fait.


    Les Khouribguis ne cherchaient pas à s'engager totalement dès le départ et ils savaient très bien que toute erreur de leur part coûterait très cher. Ce n'est ainsi qu'en seconde mi-temps que l'objectif de l'OCK s'est précisé à travers le boulevard créé à l'aile gauche suite à l'expulsion de Rabeh et les fausses interventions du gardien des FAR.


    Durant donc pas plus de 10 minutes, l'OCK rata trois bonnes occasions par Treiki et surtout Larjou, mieux placé que le gardien adverse pour mettre la balle dans les filets. Jarmouni a même failli détourner la balle dans sa cage. Une bonne occasion s'est présentée aux FAR à la 20e min mais Ouaddouch n'était pas prêt pour concrétiser.


    Il a fallu attendre la 73e min pour voir enfin l'OCK ouvrir la marque par Ouarrad suite à un centre de Treiki. Il fut suivi par un tir croisé de Camara sauvé par Jarmouni et enfin par ce joli but, le second de l'OCK, réussi des 35 mètres suite à un tir à ras de terre du jeune Ouganna (47e min).


    Le résultat de cette rencontre capitale n'a pas encore défini la situation de nos équipes vu que l'OCK (1er avec10 points) se déplacera en Angola pour affronter l'Interclube (dernier avec zéro point) et les FAR (ex æquo avec l'OCK) accueilleront à Rabat Petro-Atletico (3e avec 8 points).


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  • Le Marocain Talal Ouahabi, tête de série no 7, s'est qualifié pour la finale du tournoi ITF Futures de Mombasa (500 km au sud-est de Nairobi) en disposant en demi-finale de la première tête de série du tableau, le Slovaque Victor Bruthans, par 6-4, 1-6 et 6-4


    Tournoi ITF Futures de Mombasa : Le Marocain Ouahabi en finale


    Le Marocain Talal Ouahabi, tête de série no 7, s'est qualifié pour la finale du tournoi ITF Futures de Mombasa (500 km au sud-est de Nairobi) en disposant en demi-finale de la première tête de série du tableau, le Slovaque Victor Bruthans, par 6-4, 1-6 et 6-4.


    Il sera opposé en finale au Sud-coréen Cheong-Eui Kim qui a sorti la deuxième tête de série de ce tournoi le Roumain Bogdan Victor Leonte en deux manches 6-1 et 7-5.


    En double, la paire Victor Bruthans et Bogdan Victor, tête de série no 1, s'est adjugéele titre du tournoi en dominant le double indien Jaco Matthew et Vishal Punna par 6-2, 5-7 et 6-2


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  • C'est vrai qu'on s'écrase, momentanément, pour donner leur chance aux jeunes journalistes de la nouvelle chaîne sportive, entièrement consacrée, corps et âme, au sport.

    On excusera donc toutes les failles, qui relèvent de la mauvaise passe, comme en football et puis mieux vaut avoir une chaîne sportive que rien du tout.
    Bravo à Faiçal Laâraichi, pour avoir agi en pédiatre et sauvé le bébé !


    On attendra donc le temps qu'il faut, tout en espérant plein succès aux journalistes d'Arriadya, qu'on espère écrire dans un avenir proche, sans les guillemets d'usage, annonçant une sorte d'OVNI, dans le paysage audiovisuel national


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